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LUXURE & VOLUPTE.

2009 juillet 23 Jeudird à 22:20




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2009 juillet 23 Jeudird à 21:16


L'espèce de pois de senteur plaqué ici par là s'aggripait aux globules rouges aimant qui trainaient tout son corps. Citron yopela. Gobe de gadoue par gance. Comme le vent mais à touche ultra glam. Juste des bogues et la gobe dite. Carpe Diem dans mes poumons de bois de bureau. Botanic water. Et le supermarché pas super mais un peu quand même. Articler et pointiser. Pour le meilleur, surtout le pire. Sourires de salops. Que les douceurs éclatent. Bim. J'écrierai un livre. Pas tout de suite hein. Mais un jour. One day. La pluie, les sarcasmes, la passion, le rationnel, criblée de panique adorable. Et en se tirant quelques mèches de fibre. Les étoiles pur beurre et les plats sans saveurs, les plis, tout près des paup hier. Et la cire fondue, là haut, tout, sur le rebord ciment verdoyant plus. Les années de plus, l'innocence en moins. Maintenant je cerne les évanouissements. Mince d'approbation ou juste un rien, préservez-vous.


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2009 juillet 16 Jeudith à 22:33




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Une particularité des cubes chocolatés, leur subtilité si innocence alentours. Et ça marche même avec les sans intérêt. A qui l'eau. Propos détrempés. Couleur blafarde embourbée vaseux verbleux. Et le migou qui sommeille en eux. Et les contenus si pâles. Bref. Rien d'autre à dire. 







2009 juillet 15 Mercredith à 21:49





 
 
Une liasse de végétaux tenue parallèle à l'entrebaillement de la façade grisâtre.
Miséricorde de pelle mêle. 
Du Babybel. 
New York, Paris, Vegas et les autres.
 Des tickets de train, des quaies vides. Des arrêts tout entier. 
Des photos repoussées plus près de l'azur byzantin. 
Relants des chronologies illogiques du collège.
L'organe mécanique hoquete.
Titube.
 Et s'écroule. 
Face au sol poussiéreux. 
Infâme. Un sirop d'arbre orgeatique, vite.





 

2009 juillet 15 Mercredith à 21:08



Et parce que le terme excès commence à tinter dans ma bouche, juste sous le vestibule, Léa sort. 
Verdure à plein poumon et respiration acide allure. C'était ça, hier. Contre les joues froissées de sa dernière nuit passée avec ses côtes et le reste de ses membres plats. La plante verte doit crever. La beauté ne remplie pas ses veines. Elle devra survivre, se scotcher au diaphragme. Point. La fermer. Ou hurler du vide. Le silence épuisant. Il ne voulait plus d'elle, elle devenait ex. Elle ne supportait pas. Ne voulait plus de ça. Alors elle devait crever. Il y a de la flotte plein les épis.





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2009 juillet 15 Mercredith à 20:59



Eh oui je suis pleine de ressources. Mes plans sont encore à l'état d'ébauches mais laissez-vous séduire. Lancez Beaupin sous les pirates. 
Et là, à cet instant précis, elle aura compris que le brouhaha qui l'use et la frappe ici n'est autre que le bruit de la mer informatique. Eh ouais. 
Complètement obsolète.
Esprit en plein crise d'identité. Va pour la saucée tartinée saupoudrée aux six coins de la table. Adieu, elle va se suicidate. Avec un couteau suisse à la fraise. Comme ça son coeur il souffrira pas. Ou seulement moins. Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, Elisa innocence. 
Pause sur son slim large blanc poussière. 
L'envie de raper les fesses du renard créait en eux ce désordre noueux. 
Inspirez à fond pour trouver votre dévolution intérieure. Try again, hey. Croix rouge moutarde sur ton visage d'enfant. Ravissant. Y a ses mouvances et le surikat qui brille en braillant qu'on le débraille. Purée. 
Arrêter les élucubrations et taire l'écriture et l'entrain qui secoue. Mon corps. 
Portez-vous bien.





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2009 juillet 13 Lundith à 23:00


Les paroles déchainées se gardent bien de valser dans ce ventre tout endormi. Les étincelles lui prennent ses yeux. La beauté n'en voit plus la fin. Peut-être n'y en a-t-il pas. Les tartines de Biafine vont bon train, le temps des rencontres. Juillet nous perd, nous ramasse, nous éparpille et nous traine à la pelle. Les post-it bien rangés se démêlaient tandis que nos expressions se baladaient le long du cours sourire. Tu nous a dit que la petite qui dormait n'avait aucun virage dans le corps. Si c'est pas de la vitamine sur un légume vert tout ça. L'autre aura conseillé d'avaler sans mot dire. Que c'était important nous aura-t-on précisé. Dans la même barre il y a le coup du concentré de pensées ou diverse pluie de maquereaux sans appellations. Bisou moëlleux à vos ancêtres. Fallait quand même y songer. Ou pas. Revenons-en à son ventre qui barbouille. Dix degrès et duo de brèves de tissu fin sur la poitrine et le bas. On est comme des cailloux à qui on fait joncher le PVC de la benne. Et avec nous les éclats de caramel coupé au lait d'oeuf de dragon ramassé dans l'herbe. Embrassez-vous sur moi. 




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2009 juillet 13 Lundith à 21:36



 
- Ah t'as quoi là !?
- C'est des grillées !
- Ah ! Okayyy. Parce que je me suis interrogé.. Je lui en parle ou pas !?..




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2009 juillet 13 Lundith à 9:41


L'écouteur se tenait là, bien serré entre ses dents blanchies encore par le lavage du matin même. L'Air virevoltait dans son crâne. Elle respirait très bas. Lentement aussi. La montagne qui se découvrait à l'horizon enroulait un par un les moins hauts des sommets et semblait lui vouloir quelquechose. Le Val qui lui rappellait Rimbaud lui avait appris à aimer la vie. Ses valeurs. Ses vertues. Sa verdure saveur bio. Une once d'agrûmes posée à terre. Son ventre. Sur le sol humide et froid. Le vide. Son vertige. La quiétude l'avait de là emplie. L'autoroute défilait ici sous les globes aligatore comme on ressasse son passé et l'entasse au présent pendant la douche du soir. La sainteté en devenait terrifiante. Quelle bande sons d'animateurs. Une espèce de programme articulé. Mon coeur a roté tandis que je somnambule sur celui des enfants.


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2009 juillet 3 Vendredird à 22:28



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