mycans

LUXURE & VOLUPTE.

2010 février 25 Jeudith à 14:07




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Voilà le résultat (Non optimal) de sept ans de pratique de l'Espagnol, un de plus pour ll'Anglais. Les mots les plus easy se sont tirés à bras le corps (Parce qu'ils en avaient la puissante volonté) tandis que l'entité tentait de les en retenir. En vain.
La Techno et le classeur qu'on devait tenir classe. Pour avoir 15 ou 18 parce que ça peut jamais être parfait. On sera pas d'accord mais vengeance proclamée par le chahut menaçant et dévastateur en diffusion dans la pièce à une allure fulgurante.
La bio, le sport. Médiocre, varié. 
Détale face aux brocs redimensionnés à bouillie fruitées et autres emballages sous vide. La bonne et saine senteur plastique.
Le temps qui passe, les morceaux qui s'amassent, le tri, les séléctions, le meilleur, large part d'égoïsme, la caractéristique humaine universelle.
Remise à niveau, que c'était beau.
La seconde, les copies. L'ironie et le drame, la notoriété qu'on ne méritait pas.
Savoir être en confiance sans sembler s'imposer et n'être qu'imbu et limité.
Démarquage sans ridicule, dur.
Faire confiance mais surtout pas paraître un brin dérangé qui ingurgite chaque parole. 
Sérieux et respectueux à la limite de l'élitisme. 
Emprûnt de nos pétillantes Amours. Que permission s'estompe ou ne s'affiche pas.
Valse, rien de rationnel, à travers les époques, la physique n'aurait pu l'expliquer, insensé sensationnel. 
L'attirance et ses défaites, les voisins, l'identitaire, le chimique, le chocolat et les frontières.
Calculs par dépourvue de la plus basique logique.
Qu'on obseve mûrir les pousses végétales, vautrés sur le sol brûlant des escaliers vers le soleil.


2010 février 23 Mardird à 11:02


Dans la poussière parisienne, la saveur polluante des particules d'échappement, les plateformes cosmopolites des peaux opaques aux cristaux de l'Est, la folie culturelle et le langage des corps.
La paperasse accumulée au retour des heureux évènements, le tri qui s'imposait, des tickets de métro aux preuves d'appartenance aux FMN, même étrangères. La force physique qu'on se devait d'émaner, les clichés à ne pas manquer, ceux nés du hasard et les autres, calculés. 
Le luxe parasite et victime de notre mépris pâle, la peur de l'inconnu pourtant encouragée par le vice et le courage de l'individu lui-même.
Les entrées sans retour sur les pavés délabrés par nos pas destructeurs, les sorties des cases à dalles, parfum de synthèse, condiments, épices, curry, citron et arrosé de beurre.
Les publicités immenses, leurs lettres manquantes, celles qu'on avait déchirées, par volonté ou inadvertance, les fragrances corporelles, des bourgeoises aux revenus menus. 
L'hypocrisie, le soutenu, la fausse classe et l'inné.
La simplicité éparpillée sur toutes les rues de pénombre, les individus au logement précaire et mouvant. D'un boulevard à un autre. Du square du pharaon à la place machine. 
Les photos à la pelle et les poses aussi ridicules que plaisantes.
Les sourires, les affres, les angoisses, et l'ennui. 
Le parquet bien avant cela, l'expertise et la notoriété.
La copie ensuite.
L'écriture des bribes dépecées en restes ou recherche acharnée. Entre les deux, le terminus. 
Tout le monde descend.


2010 février 12 Vendredith à 16:47




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Paraîtrait que c'est tendance de suspendre des soleils à la pelle sur les murs. Terre. Etc. On nous avait prédestinées à la croisée des embuscades. Le teint excessivement vif et éclatant sonnait faux. Plastique. Limite chirurgical. Super fille superficielle. Hmmm. De méditation, médisance et de doute.






 

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