Voilà le résultat (Non optimal) de sept ans de pratique de l'Espagnol, un de plus pour ll'Anglais. Les mots les plus easy se sont tirés à bras le corps (Parce qu'ils en avaient la puissante volonté) tandis que l'entité tentait de les en retenir. En vain.
La Techno et le classeur qu'on devait tenir classe. Pour avoir 15 ou 18 parce que ça peut jamais être parfait. On sera pas d'accord mais vengeance proclamée par le chahut menaçant et dévastateur en diffusion dans la pièce à une allure fulgurante.
La bio, le sport. Médiocre, varié.
Détale face aux brocs redimensionnés à bouillie fruitées et autres emballages sous vide. La bonne et saine senteur plastique.
Le temps qui passe, les morceaux qui s'amassent, le tri, les séléctions, le meilleur, large part d'égoïsme, la caractéristique humaine universelle.
Remise à niveau, que c'était beau.
La seconde, les copies. L'ironie et le drame, la notoriété qu'on ne méritait pas.
Savoir être en confiance sans sembler s'imposer et n'être qu'imbu et limité.
Démarquage sans ridicule, dur.
Faire confiance mais surtout pas paraître un brin dérangé qui ingurgite chaque parole.
Sérieux et respectueux à la limite de l'élitisme.
Emprûnt de nos pétillantes Amours. Que permission s'estompe ou ne s'affiche pas.
Valse, rien de rationnel, à travers les époques, la physique n'aurait pu l'expliquer, insensé sensationnel.
L'attirance et ses défaites, les voisins, l'identitaire, le chimique, le chocolat et les frontières.
Calculs par dépourvue de la plus basique logique.
Qu'on obseve mûrir les pousses végétales, vautrés sur le sol brûlant des escaliers vers le soleil.