L'espèce de pois de senteur plaqué ici par là s'aggripait aux globules rouges aimant qui trainaient tout son corps. Citron yopela. Gobe de gadoue par gance. Comme le vent mais à touche ultra glam. Juste des bogues et la gobe dite. Carpe Diem dans mes poumons de bois de bureau. Botanic water. Et le supermarché pas super mais un peu quand même. Articler et pointiser. Pour le meilleur, surtout le pire. Sourires de salops. Que les douceurs éclatent. Bim. J'écrierai un livre. Pas tout de suite hein. Mais un jour. One day. La pluie, les sarcasmes, la passion, le rationnel, criblée de panique adorable. Et en se tirant quelques mèches de fibre. Les étoiles pur beurre et les plats sans saveurs, les plis, tout près des paup hier. Et la cire fondue, là haut, tout, sur le rebord ciment verdoyant plus. Les années de plus, l'innocence en moins. Maintenant je cerne les évanouissements. Mince d'approbation ou juste un rien, préservez-vous.
mycans
LUXURE & VOLUPTE.
2009 juillet 23 Jeudird à 21:16
L'espèce de pois de senteur plaqué ici par là s'aggripait aux globules rouges aimant qui trainaient tout son corps. Citron yopela. Gobe de gadoue par gance. Comme le vent mais à touche ultra glam. Juste des bogues et la gobe dite. Carpe Diem dans mes poumons de bois de bureau. Botanic water. Et le supermarché pas super mais un peu quand même. Articler et pointiser. Pour le meilleur, surtout le pire. Sourires de salops. Que les douceurs éclatent. Bim. J'écrierai un livre. Pas tout de suite hein. Mais un jour. One day. La pluie, les sarcasmes, la passion, le rationnel, criblée de panique adorable. Et en se tirant quelques mèches de fibre. Les étoiles pur beurre et les plats sans saveurs, les plis, tout près des paup hier. Et la cire fondue, là haut, tout, sur le rebord ciment verdoyant plus. Les années de plus, l'innocence en moins. Maintenant je cerne les évanouissements. Mince d'approbation ou juste un rien, préservez-vous.
2009 juillet 15 Mercredith à 20:59
Eh oui je suis pleine de ressources. Mes plans sont encore à l'état d'ébauches mais laissez-vous séduire. Lancez Beaupin sous les pirates.
Et là, à cet instant précis, elle aura compris que le brouhaha qui l'use et la frappe ici n'est autre que le bruit de la mer informatique. Eh ouais.
Complètement obsolète.
Esprit en plein crise d'identité. Va pour la saucée tartinée saupoudrée aux six coins de la table. Adieu, elle va se suicidate. Avec un couteau suisse à la fraise. Comme ça son coeur il souffrira pas. Ou seulement moins. Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, Elisa innocence.
Pause sur son slim large blanc poussière.
L'envie de raper les fesses du renard créait en eux ce désordre noueux.
Inspirez à fond pour trouver votre dévolution intérieure. Try again, hey. Croix rouge moutarde sur ton visage d'enfant. Ravissant. Y a ses mouvances et le surikat qui brille en braillant qu'on le débraille. Purée.
Arrêter les élucubrations et taire l'écriture et l'entrain qui secoue. Mon corps.
Portez-vous bien.
2009 juin 14 Dimancheth à 21:45
Je vais partir mais ce ne sera pas long. C'est une séparation partielle. Je le sais. Le retiens pour mieux le sentir. Il se doit. De l'amidon plein la passeoire, vos morceaux de tibia restés à trainer là sur les sols à rayures blanches. Prenons garde de ne pas trébucher tout de même. Et surtout pas par nous et nos sales bouts de corps fatigués par l'immaculé azur tâché des astres scintillants égrainés. Eparpillés. Coupés. Comme les instants fébriles derniers m'ont crayonnée de sérénitude. Les actions et vos sourires de lune grillée -si, si. De Dragibus qu'on gobe parfois ultra rapidement. De soupe concombre parfumée menthe. Qui sort tout droit du bac à glace à bulles bouillantes.
La précipitation.
Surtout pas.
Et pourtant..
Laisse-moi me rattraper bientôt.
2009 mai 30 Samedith à 0:08
Alors que le sable freinait, mon équilibre, lui, dérapait sur ces grains poussiereux. Vautre. Cascade. Je n'avais rien d'autre à penser sinon que le silence me suivait, le tourment derrière l'ombre que j'étais également.
Les constellations et le reflet du corps.
L'or et la contemplation. L'esprit sain le coeur noué. Les bouées de Bora Bora. Et nous, trépignant comme pin sous la pluie qui braille. On attend. L'apocalypse qui nous flanque de violentes sueurs froides. Des raisins aux raisons plein de résine, les tringles étrangers et les cactus vieillis par la réussite. Les virus et leur tête d'épingle. Les carapaces et le triangle tournant au sud,
T'es sale.
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