mycans

LUXURE & VOLUPTE.

2009 octobre 24 Samedith à 14:35




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Je le crierais du haut de la falaise de brique que vous ne voudriez pas me croire. Il le faudrait pourtant. Tout est dépassé, insensé, horriblement vicieux. Voyelle, consonne, sourire éparpillé sur la foule immense et surdimensionnée. Les quais, le bitûme, déraisonné. Les faisceaux des néons nous volent durant la nuit. Et nous transportent.. AIlleurs on s'embrassera, vous crierez que la morale se périme. Et on riera.








2009 octobre 15 Jeudith à 12:10


Compte rendu d'un mois passé en ville infernale.
J'en ai marre des connards pas dotés d'un brin de savoir vivre.
Saturation que de voir ces pétasses qui s'arrachent l'élément casque en bafouillant des trucs à la con et qui dénaturalisent totalement le semblant de patrimoine plastique qu'on veut bien s'offrir.
70 de pseudonyme.
J'y ai cru, je fus furie.
Marre des flaques et des crânes qui se plaquent face contre la vitre.
Désespoir que sont les esprits et les pas presées. 
Hummm..
ça devait embaumer la moutarde. Pique la langue et rectiligne comme un crabe remanié.
Sinon ça va.







2009 octobre 11 Dimancheth à 21:41



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Rapidité la plus belle. Cracher toutes ces lettres, balayer la littérature, puisqu'il faut rire. Persuasion et conscience peu pâle, mais rien qui vaille pourtant. L'ailleurs et nos espérances. Pourquoi insérer le monde tout autant étranger qu'il est, ne pas se contenter des alentours. 
Manque de propitiation soit abandonné sous ces pages encrées de nos périples heureux.
Qu'on donne l'info, qu'on balance. Des accusés de réception à la mécanique du coeur. L'attente en hiver, sur le bitume qui rend con. La fumée à la bouche, les rumeurs. Que l'endurance est belle, nos courses valorisées. Les rails, les peaux creusées par l'épreuve. 
Dix ans à figer sur quelques coupures végétales, rouge à choisir. Fleur d'oranger et réunion, virage. 
Stupeur sans stupéfaction aucune. 
Les quais, le pas pressé, la foule en panique, la destination bien planquée dans le pack de bagages.
Les tubes plastiques passés en machines bruyantes jusqu'au soir et durant des heures.
On aura attendu qu'elles s'éloignent. Il nous fallait nous croiser cet instant là encore. 
1942..










2009 octobre 10 Samedith à 11:13













- Les éponges on les rince sale deg.
- C'est vrai ça.













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