mycans

LUXURE & VOLUPTE.

2011 septembre 19 Lundith à 10:49






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2011 juin 14 Mardith à 18:14

 
 

Prendre un café au bord du trafic routier, sur une table nue, comprendre, sans cendrier, et sur laquelle se disperse et nous observe attentivement une femme peinte des années 80.

L'aquarelle pâlit son teint sous les boucles étranges qu'elle arbore, le voisin de la table de derrière fume et tousse bruyamment. Perdu dans ses pensées il semble faire abstraction de l'environnement qui l'entoure. Le théâtre d'une vie, un tourbillon de sentiments, ce chaos d'émotions, vacarme délicieux.

Ensuite, tu m'embrasseras, embarrassée, non par la vision de ces autres mais par le contre temps qui t'embarqueras en retard au boulot.

Tu seras artiste et je taperai notre histoire sur une machine.

Comme t'aimes pas. Et t'aimeras toujours pas d'ailleurs.

Le soir on parlera pendant des heures assises en vrac sur le canapé, une tisane à la main, des cartes postales et des photographies partout autour de nous.

Tu t'endormiras en racontant comment ton connard de patron t'auras privée de virée en Atlantique. Je sourirai.



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2011 juin 13 Lundith à 18:21

 
L'odeur de vieux bouquins qui commencent presque à moisir. Les escapades des mois à venir. La découverte du mascara. Les mains des gens, ceux que je connais de préférence. Les choses tout à fait simples. Peut-être les hommes noirs. Ecraser le désir. Télécharger illégalement. Le succès social en réseau. Qu'en Septembre, le permis sera périmé. La diversité. La démence des mots. Café fort. Mariette. La fiabilité de mes passes. Marion Cotillard.



Le vice de la poussière. Peut-être pas le métro Londonien. Le mépris et ses robots. Les pertes de mémoire. Les spams et la pub quand ils débarquent sans prévenir. Les imitations ratées. La désillusion. L'indécision du public. Les fragments de cendre sur nos vêtements. Les voisins d'en-bas. Les pleurs de l'Ulysse.



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2011 mars 29 Mardith à 14:35

 
Comme des années plus tard. Le temps de vieillir un peu. Prendre quelques rides, repasser par là, retrouver ses marques, les anciennes, écrire de nouveau, sur un café court, le son d'un vieux Farka Toure, puis tourner les talons.

Le Burkina avait entamé son sprint final, à un bras, dans vingt-quatre jours. Vivre comme un malade par équation, demain sera soixante minutes, Jeudi de nouveau, Vendredi, puis le week-end, histoire de patienter dans la sagesse jusque là-bas.

Au rattrapage, pas de quoi pleurer, proprio dynamique, séance intensive, Sud hexagonal. Ripe. 






2010 septembre 15 Mercredith à 1:50

Ne plus penser.

2010 septembre 1 Mercredist à 2:07

Je savais que tout cela était parfaitement ridicule et que je ne craignais rien. Mais à subir les effets badigeonnants des conneries de la télé mon coeur en chopait des crampes. Il tremblait pour un craquement de hanche et hurlait - allons.. (!) - par la lumière qui venait à cogner le verre quelque fois. Il aurait suffi d'une fois, acte brave d'heureux courage. Raté.. ! Tout recommencerait bientôt et je voyais son sourire demain. Tout se fondait, tout était con. Et je riais, par sommeil et manque d'amour.

2010 juillet 3 Samedird à 1:48

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2010 mai 21 Vendredist à 0:01


Je suis un interrupteur. Celui qui pense, qui crie, qui pleure.
L'interrupteur confiture, celui passé des fragments de vos poussières d'été. La main de boue, sur lui debout, avec du miel et en dessous, le tube Ecole, chocolat de sur la bouche, la touche qui brille, à l'isio 4, le vernis rouge, rétro qui bouge, le sucre, l'emprunte, l'encre, digitales. 
De craie, de sang, sale, inconnu. 
Les stickers qu'on aime plus bien, la fissure qui vient de loin.
Saveur et eaux, aux sons de peur, ou nu, ou beau, ou pas, ou saoul. Ou brave et gauche et humble ou rien.
Parcelle de corps, dans le décor, en plastique blanc ou transparent. En bois parfois, mais pas souvent, interrupteur.


2010 mai 17 Lundith à 0:23




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Du besoin de ses mots, les allures pâles des beaux jours, l'étincellance naturelle, les sites virtuels, le bureau, la classe, les affaires, nos sourires. Beaupain, l'iPhone, les ratés, son odeur, le rythme sapin, Camille.P, ses dossiers, le clavier AZERTY, bien trouvé, Papa, les courbes suivies par la couleur, Titouan, Lana, groupuscule d'automne, coup de panne, sa photo dans un ascenseur, les appli d'attrape-coeurs, les hurlements de plaisir, le positivisme, radieuse, sous l'attraction des corps, vos écritures, est-ce que tu nous désires encore ? L'insatiable, celui qui trime, ou bien qui pleure, du marketing dans les propos, mon Amour, la relève, la danse, la mémoire, c'est bon, les chûtes, parfois, nos bouches qui se tordent, les statues de sels, leur retour, la politique, les heureux, le sucré, la pudeur, discrétion, fondement d'un manquement de raison, c'est soi, Londres, Paris, New York, et le Trivial Pursuit, ne demande rien, la miniature, l'art, les saisons sales et les écarts, sans crainte, balancer, effleurer, son regard, l'habitude, savoir, être, faire et vivre. Bousculades, évènementielles, Paris. Paris. En cartes postales, l'encart d'un coeur, l'accord, d'abord. Tickets, de tout, de nous, ciné, pourriture, confiture, adoré, de la boue, voyez-vous, déchirée. Mon Chéri. Pois de senteur, disques, l'amer, demain, intense, ce sera aux toutes premières heures, la voisine, celle qui sait, un langage. Les amants, la photo, un poster, des post-it. La luxure, la beauté, synthétique, cintre, et son portrait pendu. A Lyon, les DCs, la classe, Orange, les claques, l'expression, pardonne-lui. Je t'aimais, on disait, on suppose, on sait plus, tu comprends. Mon Amour, répétition, le privilège, les traditions, laisse-la vivre, bateau de quartier, Vincent papier, et cet été, dans les étages, on se baladra, je penserai à toi, j'te dirai pas que je ne crois plus, j'te dirai plus que c'était toi, on aimera encore, ici, là-bas, sur de la prose. Tes cheveux, dans la pièce, l'air peureux, son adresse. Retenir, rattraper. Présumer, ça ira.                                Retiens-moi.

 

2010 avril 8 Jeudith à 15:38





DES LETTRES DE L'ALPHABET.


- TROISIEME.
- PREMIERE.
- QUATORZIEME.
- NEUVIEME.
- DOUZIEME.
- DOUZIEME.
- CINQUIEME.


TU   -ME-DO        NNES/DU/         BONHEUR .





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