mycans
LUXURE & VOLUPTE.
2009 juillet 3 Vendredird à 18:44
Nantie affilié au superbe Slumdog Millionnaire. Il était temps. Le temps de se creuser sous la dureté de cette terre noire et huileuse de peu un espace pour nos sens et nos fuites glaciales. Les secousses begaient, les Mots parlent d'eux mêmes. J'ai jamais bien pu cerner ce saut-là. Pas d'élastique, juste un accent. Des titres à la pelle. Grandioses. Et puis voilà, avec tout ça, les reproches des actes passés, et par-dessus tout un stade égaré. Se traire pourquoi faire et pendant ce temps ne pas parler. Elle est comme une pierre recouverte de Myrtille assez majestueuse. Wouah.
2009 juin 30 Mardith à 21:47
Parce que la virevolte nuits aux astres d'affilée étendus derrière n'aura pas son cours, je me devais bien un nouvel article. Y a pas de restes ici de poussière ni d'étoile, ni de sable, ou des murs en ballade. Y a un bloc genre Pic Du Midi passé au Freezer pas vide du tout. Y a du bois et des plantes partout -ou presque. Le concept du Clean dans les moindres recoins. Deux plaques électriques intacts. Un set unique -ou pas- de Tefal suspendue sans hoquet tout près, par là-bas. Y a tout. Y a ça. Y a des cartes postales belles et moins qui ont jailli des antipodes. Argentina, Windsor.. Et caetera. Y a Queen en semblant et iKEA réprésenté à tout allons. Un curseur original. Noir à pois gris azur tire la gueule et menace. Un MSN supra bizarre. Du sang pâle d'orgeat. Délicioso. Un lampadaire miniature qui fait griller à douce allure la bureautique. Une vieille revue qui trépace et jonche le flottant qui flotte d'ailleurs pas. C'est un inédit -sans excès tout de même- de Moto Magazine. Pub non souhaitée. Merci. Au Revoir. ( Et là je traine et sur le sol même toutes mes pensées vers toi.)
La collec zero breloque manquant dans la série les Pour Boire Coca-Cola en édition limitée de chez Ronald's (oui, Mac Donalds un peu. ). Y a tout qui lustre et qui scintille. ( Invention des mots si j'en ai l'envie. )
Les amplis sont immenses comme ça.
Le bar d'en dessous à peine bruyant autant que le metro qui m'a embarquée sur le double d'une de mes mains -ou des tiennes- en nombre d'arrêts et pour la première fois toute de ma vie qui commence. Juste. Espérons. Le bambou délicat a viré la gamme plastique de chez Electrolux AM. Y a vraiment de quoi plaire à une femme microscopique comme moi.
2009 juin 9 Mardith à 18:20
Bouille de chocolat sur coeur. Fallait bien dégoter de quoi remplir une première ligne, suite à quoi les autres ne tarderaient plus à s'enchainer. Les articles déchirés des pages aigries des vieux journaux conservés par dessous la brique plus tout à fait orange pour ne pas insinuer qu'on se défait d'absolument tout. L'éditeur et sa charge de ratures dépassées. Les relants du passé pauvre en vie, sérieux du reste. La bouteille plastique portée à la bouche, avalons le monde. L'art du détail, l'oeil passé par la porte, à travers l'épaisseur si menue de son entrebaillement. Le chagrin c'est un compromis, hep là. Méprisable. Oui, oui. Tu ne sais même pas mettre ton rouge pas rouge à lèvres. C'est terrible. Brusquement tu es affreuse. Elle recueille ses derniers mots.. Tu es dégueulasse. Ma version de l'inconnu d'à bout de souffle oubli volontaire de majuscules étroites. C'était Jean Seberg. Pour vous.
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