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LUXURE & VOLUPTE.

2009 août 11 Mardith à 12:00









Les coulées de boue et les perces organe nous claquaient les notes à n'en plus finir. La véritable idéologie du songe premier et acide à souhait. Du crâne à l'issu d'une échappatoire en toc. Fallait juste arrêter un peu la buée. Commencer à poser ses remarques délicatement sans aucune pathologie. Sans reste. Tout éparpiller çà et là. Du burger à poignet, et soudaines évasions. Olymbos grec éphémère. Eventrée par l'agora. Menteur. Fondu au noir et fruits pas passionnants du tout. Amertume embriquée sur cette face de coeur que je mine de trimballer. L'indifférence la plus totale et ses conséquences sur le martyre qu'elle n'en fait pas. Comme une gosse à la bouche chocolat et la piqûre qui picore le tableau. Affliction pâle voire paupérisme acharné. Terminer ses excès de vie en Monsieur Bonsoir.







2009 juillet 15 Mercredith à 20:59



Eh oui je suis pleine de ressources. Mes plans sont encore à l'état d'ébauches mais laissez-vous séduire. Lancez Beaupin sous les pirates. 
Et là, à cet instant précis, elle aura compris que le brouhaha qui l'use et la frappe ici n'est autre que le bruit de la mer informatique. Eh ouais. 
Complètement obsolète.
Esprit en plein crise d'identité. Va pour la saucée tartinée saupoudrée aux six coins de la table. Adieu, elle va se suicidate. Avec un couteau suisse à la fraise. Comme ça son coeur il souffrira pas. Ou seulement moins. Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, Elisa innocence. 
Pause sur son slim large blanc poussière. 
L'envie de raper les fesses du renard créait en eux ce désordre noueux. 
Inspirez à fond pour trouver votre dévolution intérieure. Try again, hey. Croix rouge moutarde sur ton visage d'enfant. Ravissant. Y a ses mouvances et le surikat qui brille en braillant qu'on le débraille. Purée. 
Arrêter les élucubrations et taire l'écriture et l'entrain qui secoue. Mon corps. 
Portez-vous bien.





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2009 juillet 13 Lundith à 9:41


L'écouteur se tenait là, bien serré entre ses dents blanchies encore par le lavage du matin même. L'Air virevoltait dans son crâne. Elle respirait très bas. Lentement aussi. La montagne qui se découvrait à l'horizon enroulait un par un les moins hauts des sommets et semblait lui vouloir quelquechose. Le Val qui lui rappellait Rimbaud lui avait appris à aimer la vie. Ses valeurs. Ses vertues. Sa verdure saveur bio. Une once d'agrûmes posée à terre. Son ventre. Sur le sol humide et froid. Le vide. Son vertige. La quiétude l'avait de là emplie. L'autoroute défilait ici sous les globes aligatore comme on ressasse son passé et l'entasse au présent pendant la douche du soir. La sainteté en devenait terrifiante. Quelle bande sons d'animateurs. Une espèce de programme articulé. Mon coeur a roté tandis que je somnambule sur celui des enfants.


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2009 juin 20 Samedith à 20:31



Madame, Mademoiselle, ou Jeune fille. Le sang du coquelicot et l'écorce qui nous a sequestrées dans ce vice vitaminé morosité aura parfumé le séjour d'aromates sauce piquante. Le coeur baladant à l'avant du carosse, la tête calme et reposée, organes mécaniques en plein combat contre moi-même, la lutte intérieure, le recyclage des illuminations, les relants de buée massives. James et sa connerie, éparpillée si intensément sur la calcite vitrée et scintillante. La parole soporiphique jetée dans les couloirs lugubres ou bien luxueux. La monstruosité ds bourgeois matérialistes miniatures. Madame, Mademoiselle ou Jeune fille. Le plancher qui nous brûle le crâne, les restes délicieux déversés sur le plastique albumine, direction sol des dortoirs ou frigo privé. Le retour sur le bitume grisant et froid. Les bout de pluie qui nous traversent émanent de la douce démence des sourires du réel. L'innocence. Le calvaire infligé par ces éducateurs nationaux dépourvus de sentiments. Salops d'entourloupeurs. Perfection à la française version banlieue. La spoliation iranienne. Le thé aux plantes, l'ombre de la caravanne. L'outil humain pour cribler en zone verte, et leur allure écumée sur l'Egypte nouvelle. Le réseau et ses emmerdes, la spéléo et la vivacité du rouge des cerises. Nous sommes trempés. Une déferlante d'escaliers sur nos corps.. Aïe.



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2009 juin 9 Mardith à 18:20


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Bouille de chocolat sur coeur. Fallait bien dégoter de quoi remplir une première ligne, suite à quoi les autres ne tarderaient plus à s'enchainer. Les articles déchirés des pages aigries des vieux journaux conservés par dessous la brique plus tout à fait orange pour ne pas insinuer qu'on se défait d'absolument tout. L'éditeur et sa charge de ratures dépassées. Les relants du passé pauvre en vie, sérieux du reste. La bouteille plastique portée à la bouche, avalons le monde. L'art du détail, l'oeil passé par la porte, à travers l'épaisseur si menue de son entrebaillement. Le chagrin c'est un compromis, hep là. Méprisable. Oui, oui. Tu ne sais même pas mettre ton rouge pas rouge à lèvres. C'est terrible. Brusquement tu es affreuse. Elle recueille ses derniers mots.. Tu es dégueulasse. Ma version de l'inconnu d'à bout de souffle oubli volontaire de majuscules étroites. C'était Jean Seberg. Pour vous.






2009 mai 30 Samedith à 0:08


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Alors que le sable freinait, mon équilibre, lui, dérapait sur ces grains poussiereux. Vautre. Cascade. Je n'avais rien d'autre à penser sinon que le silence me suivait, le tourment derrière l'ombre que j'étais également.
Les constellations et le reflet du corps.
L'or et la contemplation. L'esprit sain le coeur noué. Les bouées de Bora Bora. Et nous, trépignant comme pin sous la pluie qui braille. On attend. L'apocalypse qui nous flanque de violentes sueurs froides. Des raisins aux raisons plein de résine, les tringles étrangers et les cactus vieillis par la réussite. Les virus et leur tête d'épingle. Les carapaces et le triangle tournant au sud,
T'es sale. 


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