mycans

LUXURE & VOLUPTE.

2009 décembre 6 Dimancheth à 20:54






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Je savais que tu passerais par là.












2009 novembre 28 Samedith à 1:44











Spiritisme littéraire.




































































2009 octobre 15 Jeudith à 12:10


Compte rendu d'un mois passé en ville infernale.
J'en ai marre des connards pas dotés d'un brin de savoir vivre.
Saturation que de voir ces pétasses qui s'arrachent l'élément casque en bafouillant des trucs à la con et qui dénaturalisent totalement le semblant de patrimoine plastique qu'on veut bien s'offrir.
70 de pseudonyme.
J'y ai cru, je fus furie.
Marre des flaques et des crânes qui se plaquent face contre la vitre.
Désespoir que sont les esprits et les pas presées. 
Hummm..
ça devait embaumer la moutarde. Pique la langue et rectiligne comme un crabe remanié.
Sinon ça va.







2009 septembre 19 Samedith à 4:25


Et là s'inspirait un ton vicieux et intense qui hurlait calmement de poser l'écriture sur le sol plastique à curseur animé. Chose accomplie. Sur un air de Jack Johnson, good people, banana pancakes, crying shame, un trait d'accent, des paroles pleines de vrac qui me trimballent ici et là sans que je ne cherche plus à capter quoi que ce soit. C'était parti quelques heures plus tôt. Avouer tout. Quoique.. Tout avouer eut été de saveur à croquer. Des arrangements avec la vie aux coupes de pas timides. Qu'on nous dévisage, qu'on nous révèle. Qu'on trucide l'organe de coeur, qu'on y sème des granules de viande rouge, qu'on broit mes souvenirs, leur sens est dans le corps tout entier. Teint de croix, les quaies sur le bitume, qu'on nous en aille par saturation. Et le retour sera.







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2009 août 31 Lundist à 11:45

 

    31 août, à 10:18
 
What ? i know it, thank you.. But.. Let me fly.. Je comprends pas. Je ne sais pas comment tu fais. Tes phrases sont rythmées par des termes classes et secouées complètement par des précipices. J'arrive jamais à tout intégrer ni à crever le sens que tu éparpilles tout partout. Alors.. Ben, comment je peux faire ?
Réponse dans l'absolue et la précipitation, réponse pourvue de hasard et des frelons qui rodent ici.
Ma phrase, ta pensée, synonyme encore de ce micro embuage d'encéphale, c'est simplement bien en rapport avec une pesonne mais alors c'est ouf comme c'est indirect. Y a pas à chercher très loin, la signification est à portée de main. Tout près, regarde. JUSTE DERRIERE TOI.
Tu finiras toi aussi par y arriver.
AHAHAHAHAHAHAHAAAAAAA ! -ou dois-je écrire HiNHiNHiNHiNHiNHiNHiNHiNHiNNN :D

    Crush.


2009 août 31 Lundist à 11:38



JE VAiS FiNiR PAR Y ARRiVER.



2009 août 10 Lundith à 22:18



Le problème était que la confusion la traquait simplement. Apparu alors une nouvelle version de l'Adam et Eve. Mais dans le songe arrogant, les bonshommes avaient la pigmentation couleur ébène. Noire comme des congolais, ou comme les rwandais qui touchent son heureuse enfance. Bref. Adam et Eve, version nouvelle, pour attiser la curiosité de ceux d'en-bas. La classe sur talons aiguilles. Alban et son pseudo rap. Son dictionnaire tout pourri, et j'aime. L'accent lointain, du Sud, tout en dessous. Tout comme le bruit d'une phalange qui frappe contre le gris d'un grillage branlant. Sur les quaies de Valence, résidence rue des Saints. Dans les airs. Y a le voyant qui sonne rouge, comme les fruits de mer qu'on périme. Le sable sur les épaules, le tremblement dans le dos. La colonne qui vire au trait sublime. Belgique septentrionale. Avec Quechu et carrémat. Salüt.


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2009 juillet 15 Mercredith à 21:08



Et parce que le terme excès commence à tinter dans ma bouche, juste sous le vestibule, Léa sort. 
Verdure à plein poumon et respiration acide allure. C'était ça, hier. Contre les joues froissées de sa dernière nuit passée avec ses côtes et le reste de ses membres plats. La plante verte doit crever. La beauté ne remplie pas ses veines. Elle devra survivre, se scotcher au diaphragme. Point. La fermer. Ou hurler du vide. Le silence épuisant. Il ne voulait plus d'elle, elle devenait ex. Elle ne supportait pas. Ne voulait plus de ça. Alors elle devait crever. Il y a de la flotte plein les épis.





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2009 juin 11 Jeudith à 15:29


Du faire dans les épinards.
Se redresser là, vautrée sur la béatitude chaisique du tas ferrailleux qu'il est. Ne pas oublier de retenir toute sa concentration et bailler l'attention.
L'instant T va la quitter, s'enfuire et redevenir, moment M d'une tierce personne vide du réservoir, dopé de culture G peut-être. Qu'on s'expose à la subjectivité, étalée sur la place publique, un individu puissance grand numéro. Soit dit en passant que tu sentiras la friture et que mon corps entoxiné sera ravi ô, de t'entremêler à ses cheveux qui sont en cours de privatisation. Me voilà rasant une pierre immense et poussièreuse, des paroles sages et moins dans chacune de ses mains. Eau plate parce que ça m'échappe. Friche belle du mois en cours parsème mes bouts de cerveau d'un voile de pépins de force. Me voilà bien barrée.


 

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2009 juin 9 Mardith à 18:20


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Bouille de chocolat sur coeur. Fallait bien dégoter de quoi remplir une première ligne, suite à quoi les autres ne tarderaient plus à s'enchainer. Les articles déchirés des pages aigries des vieux journaux conservés par dessous la brique plus tout à fait orange pour ne pas insinuer qu'on se défait d'absolument tout. L'éditeur et sa charge de ratures dépassées. Les relants du passé pauvre en vie, sérieux du reste. La bouteille plastique portée à la bouche, avalons le monde. L'art du détail, l'oeil passé par la porte, à travers l'épaisseur si menue de son entrebaillement. Le chagrin c'est un compromis, hep là. Méprisable. Oui, oui. Tu ne sais même pas mettre ton rouge pas rouge à lèvres. C'est terrible. Brusquement tu es affreuse. Elle recueille ses derniers mots.. Tu es dégueulasse. Ma version de l'inconnu d'à bout de souffle oubli volontaire de majuscules étroites. C'était Jean Seberg. Pour vous.






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