JE VAiS FiNiR PAR Y ARRiVER.
mycans
LUXURE & VOLUPTE.
2009 août 31 Lundist à 11:33
Amelle Amelle Amelle. Arrête ça tout de suite. J'erre les yeux à demis ouverts sur cette aire de repos autoroutière. Il n'y a que de la brume partout, et des sacs de buée étendus partout. Très bas. Raser la Terre et ses trésors enfouis. Par delà les barrières. Nous ne sommes que frontières à nous même. Des photos barbouillées. Du Nutella plein le Kodak, la pellicule et les négatifs tellement traqués de souvenirs.
J'ai entendu un jour quelqu'un diire -et c'était un jeune homme : Les Marseillais sont des branlots. Prends-le comme tu veux, dois, peux. Ou alors crache dessus.
Ou prend ton tubix de dentifrice, un des tes chevuex, pisse dans un tube à essais qui ratent tout le temps, et présente-toi au commissariat.
Bien à toi, je t'embrasse.
J'ai entendu un jour quelqu'un diire -et c'était un jeune homme : Les Marseillais sont des branlots. Prends-le comme tu veux, dois, peux. Ou alors crache dessus.
Ou prend ton tubix de dentifrice, un des tes chevuex, pisse dans un tube à essais qui ratent tout le temps, et présente-toi au commissariat.
Bien à toi, je t'embrasse.
2009 août 29 Samedith à 23:48
Les pages vides à rabord de termes ascientifiques. Le vacarme inhabituel et le papier qui se froisse. On aura tout vu. Tout entendu. Tout décrypté. Détaché et retenu. Dee. Actuel passé mort morose, c'était le fracas sur les fioles si étroites, les roues ventriloques et les habits détraqués fantaisistes. Pas nous. Notre vécu a raté la falaise. Juste ça. Abus passionnel et usage à unité, un passeport pour la fiscalité qui se décharge, une photo aimantée quelque part sur une bobine ferrailleuse. Des post-it un peu partout, la couleur dessus éparpillée, des cheveux de travers, bananes et presque perfection, banalité en terre. La pourriture des pots se veut exquise, la saveur des pensées pas moins exhorbitantes, et les dénivelées se comptent par tonnes et suite à wagon. Crise d'écriture, laps de temps restreint, paroles amer en amour; l'ambre vieillissante recule puis s'effondre. Interrompre la beauté du geste pour juste l'essence et les copains. Ainsi soit-il, parquet flottant, un bisou, et tout recommencera alors.
2009 août 29 Samedith à 1:16
La revue brillante délogée de la cave pétillante. C'était écrit. Tout ça. Que ça nous toucherait à notre tour, que les évènements nous dépassent quelquefois, qu'on se sent enterré, au centre brûlant des racines terribles. Des affres, une route. C'est là et ça part plus, quelle tristesse d'ébauche et débauche à plat l'écume. Un raté spectaculaire et tellement ridicule aussi. Et c'est si peu pourtant. S'acharner d'amour, hé. Les murs encore imprégnés du passé reluisant. Des enfants amusés et d'ongles dans le plâtre. Les plâtées de pâtes ou les restes périmés. Le manège éternel. Les marques de notre vivant, aux interminables discussions préventives et autres vécu carré. A bas la simplicité, vric repère embouteillé.. Les touches qui s'inversent et l'étonnement masqué qui se déverse sur ces espèces de corps.. C'est de l'Homme, notre Amour. Un amas de vie humaine perché tout en équilibre là comme les pépins dans son ventre si précieux. Etudes pleines de bruits, logique déparaillée. Resistance.
2009 août 24 Lundith à 23:57
Bashung à l'antenne, coupure et drogues, sexe, rock'n'roll et tout ça. Du Wahrol sur un tee -lexique cosmopolitan. Rien qui vaille. Croisée du territoire rempli de vénénosité. Y a plus que ça. Et moi comme d'hab je sors de ma douche en artiste, trempée jusqu'à la moëlle, le corps qui ruisselle. J'ai plus et plus rien à défrayer. Tronçon tourbillon et virevolte la machine à pistons. A foison.
2009 août 20 Jeudith à 13:41
NON MAiS SANS RiiiiiiiiiRRRRRREEEEEE !! C'EST TREPiDANT DANS MON COEUR MAiNTENANT ! YEAH.
2009 août 20 Jeudith à 0:01
Le titre parce que c'est well knowned, l'égocentrisme est un ancêtre tissé au fil de soi. Je comprends plus Facebook et ses nouvelles tendances ploucardes. Les quizz en folie et leur intempestivité, yep, comme la brique ciment encastrée derrière elle le soir de la connexion couleur flower power. Enjoy. Bref. Alors pourquoi tous ces foutus trucs de débilité bégayée par ce tape vernis, hein. ? . Interrogation à rendre perplexement givré d'on va usurper l'oisiveté humaine et proliferante pour savoir quel est l'effet recherché de par l'usure et l'abus de termes scrupuleusement anglais. Alors là non plus je comprends pas. ..ça c'est fait Little Marcel. Peace .
2009 août 11 Mardith à 12:00
Les coulées de boue et les perces organe nous claquaient les notes à n'en plus finir. La véritable idéologie du songe premier et acide à souhait. Du crâne à l'issu d'une échappatoire en toc. Fallait juste arrêter un peu la buée. Commencer à poser ses remarques délicatement sans aucune pathologie. Sans reste. Tout éparpiller çà et là. Du burger à poignet, et soudaines évasions. Olymbos grec éphémère. Eventrée par l'agora. Menteur. Fondu au noir et fruits pas passionnants du tout. Amertume embriquée sur cette face de coeur que je mine de trimballer. L'indifférence la plus totale et ses conséquences sur le martyre qu'elle n'en fait pas. Comme une gosse à la bouche chocolat et la piqûre qui picore le tableau. Affliction pâle voire paupérisme acharné. Terminer ses excès de vie en Monsieur Bonsoir.
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