Madame, Mademoiselle, ou Jeune fille. Le sang du coquelicot et l'écorce qui nous a sequestrées dans ce vice vitaminé morosité aura parfumé le séjour d'aromates sauce piquante. Le coeur baladant à l'avant du carosse, la tête calme et reposée, organes mécaniques en plein combat contre moi-même, la lutte intérieure, le recyclage des illuminations, les relants de buée massives. James et sa connerie, éparpillée si intensément sur la calcite vitrée et scintillante. La parole soporiphique jetée dans les couloirs lugubres ou bien luxueux. La monstruosité ds bourgeois matérialistes miniatures. Madame, Mademoiselle ou Jeune fille. Le plancher qui nous brûle le crâne, les restes délicieux déversés sur le plastique albumine, direction sol des dortoirs ou frigo privé. Le retour sur le bitume grisant et froid. Les bout de pluie qui nous traversent émanent de la douce démence des sourires du réel. L'innocence. Le calvaire infligé par ces éducateurs nationaux dépourvus de sentiments. Salops d'entourloupeurs. Perfection à la française version banlieue. La spoliation iranienne. Le thé aux plantes, l'ombre de la caravanne. L'outil humain pour cribler en zone verte, et leur allure écumée sur l'Egypte nouvelle. Le réseau et ses emmerdes, la spéléo et la vivacité du rouge des cerises. Nous sommes trempés. Une déferlante d'escaliers sur nos corps.. Aïe.
mycans
LUXURE & VOLUPTE.
2009 juin 20 Samedith à 20:31
Madame, Mademoiselle, ou Jeune fille. Le sang du coquelicot et l'écorce qui nous a sequestrées dans ce vice vitaminé morosité aura parfumé le séjour d'aromates sauce piquante. Le coeur baladant à l'avant du carosse, la tête calme et reposée, organes mécaniques en plein combat contre moi-même, la lutte intérieure, le recyclage des illuminations, les relants de buée massives. James et sa connerie, éparpillée si intensément sur la calcite vitrée et scintillante. La parole soporiphique jetée dans les couloirs lugubres ou bien luxueux. La monstruosité ds bourgeois matérialistes miniatures. Madame, Mademoiselle ou Jeune fille. Le plancher qui nous brûle le crâne, les restes délicieux déversés sur le plastique albumine, direction sol des dortoirs ou frigo privé. Le retour sur le bitume grisant et froid. Les bout de pluie qui nous traversent émanent de la douce démence des sourires du réel. L'innocence. Le calvaire infligé par ces éducateurs nationaux dépourvus de sentiments. Salops d'entourloupeurs. Perfection à la française version banlieue. La spoliation iranienne. Le thé aux plantes, l'ombre de la caravanne. L'outil humain pour cribler en zone verte, et leur allure écumée sur l'Egypte nouvelle. Le réseau et ses emmerdes, la spéléo et la vivacité du rouge des cerises. Nous sommes trempés. Une déferlante d'escaliers sur nos corps.. Aïe.
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